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Date d'inscription : 02/11/2013
Age : 34
Localisation : BELGIQUE, fort Eben Emael
Le Vol de la Liberté
Ven 19 Mai 2017 - 14:59
L'article était à l'origine un projet de vidéo qui avancait pas alors j'ai décidé la publier maintenant sur le forum afin de le partager avec vous.
Michel Donnet et Léon Divoy sont deux pilotes de la Force Aéronautique Militaire (Force aérienne) de l'armée belge. En juillet 1941, ils vont tenter un pari audacieux et risqué : "fuir leur pays occupée et rejoindre le Royaume Unis, pour continuer la lutte, et cela en passant par dessus la Manche."
Le 11 mai 1940, l'Allemagne envahie la France via la Belgique, les Pays-Bas et le Luxembourg entrainant ainsi les centaines de milliers de soldats dans la tourmente. Le Sergent Michel Donnet est alors pilote dans la 9/V/1e sur R31 et Sergent Léon Divoy, pilote à la 3/II/1e sur Fairey fox, deux escadrilles d'observation et de reconnaissance. Mais la supériorité aériennes et la force de frappes de l'ennemi limitent les sorties de reconnaissances que les pilotes réalisent quand même, et obligent les escadrilles survivantes à se replier sans cesse. Le 28 mai après 18 jours de campagne et acculé dans la province de Flandre Occidentale, Leopold III, roi des Belges et commandant générale/suprême de l'armée, signe la capitulation sans condition avec l'envahisseur. Michel Donnet est alors fait prisonnier de guerre, le 1 juin 1940 et envoyé comme des centaines de milliers de soldats belges, français, néerlandais et anglais dans des camps en Allemagnes.
Léon Divoy qui suite au différent replis de son escadrilles se retrouve en France près de Tours, ne peut rentrer dans son pays qu'après l'Armistice française, le 28 juin 1940. En Belgique, Léon Divoy refuse la défaite et souhaite rejoindre le Royaume Unis, seul bastion a résisté contre le III Reich. Non seulement, il veut rejoindre mais en plus il veut le faire par les airs via la Manche. Dans ce but, il commence a construire un avion. Il dispose déjà un moteur "Gnôme et Rhône" mais il lui manque l'hélice. Il se met donc à la recherche de celle-ci à travers une Belgique occupé. En 1941, au cours de ses recherches, il tombe sur Michel Donnet. Celui-ci a été libéré par les allemands, le 10 janvier 1941 afin qu'il puisse continuer les hautes études. Les deux hommes se connaissent bien car ils ont fait leur formation de pilote ensemble. Le idée de Léon plaint à Michel et le rejoint dans ses recherches. C'est alors que Léon rencontre le comte Élie d’Ursel, lui aussi pilote dans l'Aéronautique militaire qui lui apprend que son cousin le Baron Thierry d'Huart, lui aussi pilote dans F.A.M., a réussi gardé un avion de la F.A.M. dans un hangar sur sa propriété, le château de Terblock, dans une commune d’Overijse au Sud de Bruxelles . L'avion en question est un SV4b, un avion biplan biplace d'écolage que nos pilotes connaissent bien car ils ont appris à voler dessus. Léon transmets alors l'information à son ami Michel et ensemble ils prévoient d'aller l'inspecter. L'entreprise s'avère très risqué. D'Huart a quitté sa propriété car celle-ci est occupé par les allemands pour la transformé en réserve de munition pour la Luftwaffe par le fait de la présence de la forêt juste à coté, qui permet ainsi de la cacher. Cela n'arrête pas nos hommes. Deux jours après avoir eu vent de l'avion, la nuit venu, avec l'aide du frère de Donnet, marc et des deux Frère Valcke ils font une première inspection mais ils n'arrivent pas rentrer dans le hangar car la porte a été cadenassée et ils constatent que les allemandes ne se trouvent qu'à 300 m du hangar. Ils font alors un moule de la serrure et repartent. Plusieurs jours plus tard, ils reviennent et avec les clés confectionnées à partir du moule parviennent à renter et peuvent inspecter l'avion, qui a toujours ces cocardes belges. Mauvaise nouvelle, l'avion a été sabordé. Les appareils de bord ont été retirés ce qui rend l'utilisation de l'appareil impossible. Malgré ça, Michel et Léon décident qu'ils rejoindront l'Angleterre avec cet avion. Mais pas dans cet état.
Ils se repartissent les taches. Léon avec l'aide de son oncle, fabriqué un tableau de bord avec des instruments trouvé ou fabriqué tandis que Michel se met à rechercher du carburant aéronautique dans un pays soumis à des restrictions sérères. Au bout de trois mois et une quinzaine de visites, nos deux hommes ont pu construire un tableau de bord de fortune, acquérir 100 l d'essence d'avion issu des réserves de la Luftwaffe vendu sous le manteau par un caporal allemands et même modifié un peu l'avion afin de rendre le plus discret lors du décollage en montant dessus des silencieux de voiture.
Pour son tableau de bord, Léon a utilisé un altimètre d'alpinisme, un compas de navigation marin, une boussole de voiture pour le copilote et fabriqué un indicateur de pente, un indicateur de virage, avec l'aide d'un pharmacien et un indicateur de vitesse fait d'un planchette et d'un ressort à boudin qu'il teste sur une voiture.
Tout est près pour leur première tentative. Toujours la nuit, les deux hommes et leurs camarades se faufilent jusqu'au hangar. Là, ils ont la désagréable surprise de découvrir que les allemands ont changé le cadenas. Il faut recommencer le moule. Pour éviter de devoir revenir avec les bidons d'essence, il décide alors de les cacher au alentour du hangar. Lors de la visite suivant avec les nouvelles clés, ils découvrent cette fois ci que les bidons ont été volé. Cette fois, encore il faut recommencer la recherche. La, Leon fait appel à "Miche" Janssen, aussi pilote, pour les aider. Membre de la résistance depuis 1940, Janssen les aide en trouvant plus de 200 l d'essence de voiture qu'il distille enfin d'en faire du carburant d'avion et le tout en 2 semaines. Avec la nouvelle clé et le nouveau carburant, nos hommes réalisent le premier essai de l'avion mais une erreur de manipulation lors du chargement d'essence rend le démarrage du moteur impossible ce soir là. Dans la nuit du 4 au 5 juillet, Divoy, Donnet et Janssen reviennent au hangar pour une deuxième tentative. A 2h40, Janssen lance le moteur, l'avion, piloté par Léon Divoy, s'élance et décolle. Du à la piste trop courte et la proximité des arbres, l'avion passe à la cime des arbres mais nos deux pilotes ont réussi la première étapes de leur plan. Ils mettent directement le cap à 300°, droit vers l'Angleterre, vers la liberté. Les couleurs belges volent de nouveau au dessus de la Belgique. Au niveau de la ville de Gand, la lumières de projeteurs et des tirs de DCA déchirent le noir de la nuit. Heureusement pour eux, les tirs reste imprécis et les projeteurs n'arrivent pas à les repérer. Une fois passé Gand, les frayeurs ne s'arrêtent pas là. A plusieurs moments le moteurs fait des raté menaçant de s'arrêter et de faire précipiter nos deux évadés dans les eaux froides la manches. Mais à 4h du matin, les cotes anglaises sont en vu et le petit biplan se pose sur un terrain à Thorpe-le-Soken, près de Clacton-on-Sea, dans le comté d’Essex.
L'Evasion est réussi et nos deux hommes ont atteint la liberté en rétablissant et en volant un avion sous le nez des allemands
Après avoir passé les précautions d'usages des anglais pour repérer les espions, de nombreuse interview avec la presse et des rencontre officielles, les pilotes rejoignent la RAF et se forment pour devenir pilote de Spitfire. Deux mois après leur évasions, ils sont intégrés dans la 64e squadron. En avril 1942,lors d'une mission près de Sait Omer, le spitfire de Divoy est percuté par un autre spitfire et le pilote doit s'éjecter. Au sol, il est capturé et envoyé dans le camp allemands Stalag III, qui deviendra célèbre pour l'évasion de 76 prisonniers qui inspira le film "La grande Evasion". Il tentera d'y prendre part mais il restera en prison jusqu'à la fin de la guerre.
Donnet quant à lui continu le combat et monte en grade. En 1942 il commende un fight du 64 squadron puis en 1944 il commande le 350 squadron, une escadrille entièrement constitué de pilotes belges puis plus tard la même année il devient Wing commender jusqu'à la fin de la guerre.
Après la guerre, Donnet et Divoy participe grandement à la création de la force aérienne belge. En 1952, Divoy termine sa carrière de pilote militaire comme commandant d'escadrille de méteor F4 mais continue sa carrière dans le civil, dans la compagne national Sabena. Il meurt en 1977 après une belle carrière.
Donnet lui termine sa carrière militaire comme lieutenant-général et représentant de la Belgique à l'OTAN. Il meurt en aout 2013, à 93 ans.
Aujourd'hui un monument, inauguré en 1951, commémore l'exploit de ces deux pilotes, à deux pas du château où tout a commencé.
Vidéos témoignages de cet exploit:
Source:
http://www.mil.be/fr/article/deces-du-heros-de-guerre-mike-donnet
http://www.vieillestiges.be/fr/rememberbook/contents/30
http://www.vvjack.be/PORTAIL/articles.php?pg=art128
https://www.youtube.com/watch?v=wBzQb0ec13E
http://users.telenet.be/sv-4b/Engels/donnet.htm
http://cessnaoui.canalblog.com/archives/2013/07/20/27581447.html
Le Vol de la Liberté de Michel Donnet et Léon Divoy
Michel Donnet et Léon Divoy sont deux pilotes de la Force Aéronautique Militaire (Force aérienne) de l'armée belge. En juillet 1941, ils vont tenter un pari audacieux et risqué : "fuir leur pays occupée et rejoindre le Royaume Unis, pour continuer la lutte, et cela en passant par dessus la Manche."
Le 11 mai 1940, l'Allemagne envahie la France via la Belgique, les Pays-Bas et le Luxembourg entrainant ainsi les centaines de milliers de soldats dans la tourmente. Le Sergent Michel Donnet est alors pilote dans la 9/V/1e sur R31 et Sergent Léon Divoy, pilote à la 3/II/1e sur Fairey fox, deux escadrilles d'observation et de reconnaissance. Mais la supériorité aériennes et la force de frappes de l'ennemi limitent les sorties de reconnaissances que les pilotes réalisent quand même, et obligent les escadrilles survivantes à se replier sans cesse. Le 28 mai après 18 jours de campagne et acculé dans la province de Flandre Occidentale, Leopold III, roi des Belges et commandant générale/suprême de l'armée, signe la capitulation sans condition avec l'envahisseur. Michel Donnet est alors fait prisonnier de guerre, le 1 juin 1940 et envoyé comme des centaines de milliers de soldats belges, français, néerlandais et anglais dans des camps en Allemagnes.
Léon Divoy à gauche et Michel Donnet à droite
Léon Divoy qui suite au différent replis de son escadrilles se retrouve en France près de Tours, ne peut rentrer dans son pays qu'après l'Armistice française, le 28 juin 1940. En Belgique, Léon Divoy refuse la défaite et souhaite rejoindre le Royaume Unis, seul bastion a résisté contre le III Reich. Non seulement, il veut rejoindre mais en plus il veut le faire par les airs via la Manche. Dans ce but, il commence a construire un avion. Il dispose déjà un moteur "Gnôme et Rhône" mais il lui manque l'hélice. Il se met donc à la recherche de celle-ci à travers une Belgique occupé. En 1941, au cours de ses recherches, il tombe sur Michel Donnet. Celui-ci a été libéré par les allemands, le 10 janvier 1941 afin qu'il puisse continuer les hautes études. Les deux hommes se connaissent bien car ils ont fait leur formation de pilote ensemble. Le idée de Léon plaint à Michel et le rejoint dans ses recherches. C'est alors que Léon rencontre le comte Élie d’Ursel, lui aussi pilote dans l'Aéronautique militaire qui lui apprend que son cousin le Baron Thierry d'Huart, lui aussi pilote dans F.A.M., a réussi gardé un avion de la F.A.M. dans un hangar sur sa propriété, le château de Terblock, dans une commune d’Overijse au Sud de Bruxelles . L'avion en question est un SV4b, un avion biplan biplace d'écolage que nos pilotes connaissent bien car ils ont appris à voler dessus. Léon transmets alors l'information à son ami Michel et ensemble ils prévoient d'aller l'inspecter. L'entreprise s'avère très risqué. D'Huart a quitté sa propriété car celle-ci est occupé par les allemands pour la transformé en réserve de munition pour la Luftwaffe par le fait de la présence de la forêt juste à coté, qui permet ainsi de la cacher. Cela n'arrête pas nos hommes. Deux jours après avoir eu vent de l'avion, la nuit venu, avec l'aide du frère de Donnet, marc et des deux Frère Valcke ils font une première inspection mais ils n'arrivent pas rentrer dans le hangar car la porte a été cadenassée et ils constatent que les allemandes ne se trouvent qu'à 300 m du hangar. Ils font alors un moule de la serrure et repartent. Plusieurs jours plus tard, ils reviennent et avec les clés confectionnées à partir du moule parviennent à renter et peuvent inspecter l'avion, qui a toujours ces cocardes belges. Mauvaise nouvelle, l'avion a été sabordé. Les appareils de bord ont été retirés ce qui rend l'utilisation de l'appareil impossible. Malgré ça, Michel et Léon décident qu'ils rejoindront l'Angleterre avec cet avion. Mais pas dans cet état.
A gauche, un exemplaire du SV4B au Musée royal de l'Armée. A droite photo du château de Terblock
Ils se repartissent les taches. Léon avec l'aide de son oncle, fabriqué un tableau de bord avec des instruments trouvé ou fabriqué tandis que Michel se met à rechercher du carburant aéronautique dans un pays soumis à des restrictions sérères. Au bout de trois mois et une quinzaine de visites, nos deux hommes ont pu construire un tableau de bord de fortune, acquérir 100 l d'essence d'avion issu des réserves de la Luftwaffe vendu sous le manteau par un caporal allemands et même modifié un peu l'avion afin de rendre le plus discret lors du décollage en montant dessus des silencieux de voiture.
Pour son tableau de bord, Léon a utilisé un altimètre d'alpinisme, un compas de navigation marin, une boussole de voiture pour le copilote et fabriqué un indicateur de pente, un indicateur de virage, avec l'aide d'un pharmacien et un indicateur de vitesse fait d'un planchette et d'un ressort à boudin qu'il teste sur une voiture.
reproduction de tableau de bord
Tout est près pour leur première tentative. Toujours la nuit, les deux hommes et leurs camarades se faufilent jusqu'au hangar. Là, ils ont la désagréable surprise de découvrir que les allemands ont changé le cadenas. Il faut recommencer le moule. Pour éviter de devoir revenir avec les bidons d'essence, il décide alors de les cacher au alentour du hangar. Lors de la visite suivant avec les nouvelles clés, ils découvrent cette fois ci que les bidons ont été volé. Cette fois, encore il faut recommencer la recherche. La, Leon fait appel à "Miche" Janssen, aussi pilote, pour les aider. Membre de la résistance depuis 1940, Janssen les aide en trouvant plus de 200 l d'essence de voiture qu'il distille enfin d'en faire du carburant d'avion et le tout en 2 semaines. Avec la nouvelle clé et le nouveau carburant, nos hommes réalisent le premier essai de l'avion mais une erreur de manipulation lors du chargement d'essence rend le démarrage du moteur impossible ce soir là. Dans la nuit du 4 au 5 juillet, Divoy, Donnet et Janssen reviennent au hangar pour une deuxième tentative. A 2h40, Janssen lance le moteur, l'avion, piloté par Léon Divoy, s'élance et décolle. Du à la piste trop courte et la proximité des arbres, l'avion passe à la cime des arbres mais nos deux pilotes ont réussi la première étapes de leur plan. Ils mettent directement le cap à 300°, droit vers l'Angleterre, vers la liberté. Les couleurs belges volent de nouveau au dessus de la Belgique. Au niveau de la ville de Gand, la lumières de projeteurs et des tirs de DCA déchirent le noir de la nuit. Heureusement pour eux, les tirs reste imprécis et les projeteurs n'arrivent pas à les repérer. Une fois passé Gand, les frayeurs ne s'arrêtent pas là. A plusieurs moments le moteurs fait des raté menaçant de s'arrêter et de faire précipiter nos deux évadés dans les eaux froides la manches. Mais à 4h du matin, les cotes anglaises sont en vu et le petit biplan se pose sur un terrain à Thorpe-le-Soken, près de Clacton-on-Sea, dans le comté d’Essex.
Carte du parcours au dessus de la Belgique, la Manche et l'Angleterre
L'Evasion est réussi et nos deux hommes ont atteint la liberté en rétablissant et en volant un avion sous le nez des allemands
Après avoir passé les précautions d'usages des anglais pour repérer les espions, de nombreuse interview avec la presse et des rencontre officielles, les pilotes rejoignent la RAF et se forment pour devenir pilote de Spitfire. Deux mois après leur évasions, ils sont intégrés dans la 64e squadron. En avril 1942,lors d'une mission près de Sait Omer, le spitfire de Divoy est percuté par un autre spitfire et le pilote doit s'éjecter. Au sol, il est capturé et envoyé dans le camp allemands Stalag III, qui deviendra célèbre pour l'évasion de 76 prisonniers qui inspira le film "La grande Evasion". Il tentera d'y prendre part mais il restera en prison jusqu'à la fin de la guerre.
Donnet quant à lui continu le combat et monte en grade. En 1942 il commende un fight du 64 squadron puis en 1944 il commande le 350 squadron, une escadrille entièrement constitué de pilotes belges puis plus tard la même année il devient Wing commender jusqu'à la fin de la guerre.
Après la guerre, Donnet et Divoy participe grandement à la création de la force aérienne belge. En 1952, Divoy termine sa carrière de pilote militaire comme commandant d'escadrille de méteor F4 mais continue sa carrière dans le civil, dans la compagne national Sabena. Il meurt en 1977 après une belle carrière.
Donnet lui termine sa carrière militaire comme lieutenant-général et représentant de la Belgique à l'OTAN. Il meurt en aout 2013, à 93 ans.
Aujourd'hui un monument, inauguré en 1951, commémore l'exploit de ces deux pilotes, à deux pas du château où tout a commencé.
Vidéos témoignages de cet exploit:
Source:
http://www.mil.be/fr/article/deces-du-heros-de-guerre-mike-donnet
http://www.vieillestiges.be/fr/rememberbook/contents/30
http://www.vvjack.be/PORTAIL/articles.php?pg=art128
https://www.youtube.com/watch?v=wBzQb0ec13E
http://users.telenet.be/sv-4b/Engels/donnet.htm
http://cessnaoui.canalblog.com/archives/2013/07/20/27581447.html
- InvitéInvité
Re: Le Vol de la Liberté
Ven 19 Mai 2017 - 16:03
Article très intéressant, merci Destroy.
Petite faute de frappe je pense: Donnet qu'a t'a lui -> quant à lui (avant-dernier paragraphe)
Petite faute de frappe je pense: Donnet qu'a t'a lui -> quant à lui (avant-dernier paragraphe)
- destroy500Officier [REM]
- Nombre d'obus tirés : 387
Date d'inscription : 02/11/2013
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Localisation : BELGIQUE, fort Eben Emael
Re: Le Vol de la Liberté
Ven 19 Mai 2017 - 16:18
merci c'est corrigé
- MrSuicideBunnyResponsable recrutement [REM] - Communauté Gaming
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Age : 27
Localisation : Loire Atlantique (44)
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Re: Le Vol de la Liberté
Mar 23 Mai 2017 - 22:24
Génial et bien couillus les mecs ! Merci Destroy
- Atr45Membre du forum
- Nombre d'obus tirés : 276
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Localisation : En train de somnoler sous l'aile d'un Tempest
Re: Le Vol de la Liberté
Mar 23 Mai 2017 - 23:49
Génial comme article Destroy :) ça fait plaisir à lire
- novi62_filsResponsable recrutement [REM] - Communauté Gaming
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Re: Le Vol de la Liberté
Jeu 25 Mai 2017 - 11:35
Génial, ces mecs sont un exemple !
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