- InvitéInvité
1st aid pack
Mer 8 Juin 2016 - 20:24
Objet symbolique du GI, le kit de premier secours, ou firts aid packet carlisle model.
Durant la premiere guerre mondiale, les differentes armées se sont vite appercues que les systemes de soins et medicaux du front etaient trop loin du front et mettaient trop de temps a soigner un blesser, lui laissant tres peu de chance de s'en sortir. L'us Army avait deja pensé à doter son fantassin d'un petit kit de soins rapides en cas de blessures sur le front. Mis en pratique en 1917 par l'armée de John Pershing, elle augmenta drastiquement les chances de survies d'un homme touché par balle.
Durant la seconde guerre mondiale, le concepte est reutilisé tant il fut efficace. Il se compose alors d'un pouch qui s'accroche au ceinturon par les oeillets, et du kit qui va a l'interieur. Ce dernier est, dans ce cas la en metal, pour resister aux conditions du front. Il contient 1 pansement (d'abord blanc, puis camouflé), et de la sulfalinamide (un antibiotique). Chaque fantassin en est equipé, placé normalement a l'arriere droit du ceinturon, il permet a n'importe quel homme de pratiquer les premiers soins a un blesser, meme a lui meme. Cela permettait de maintenir le soldat en vie avant l'arriver de l'infirmier, qui pratiquait alors un garrot et emmener ensuite le soldat a l'antenne de secours.
Il existe 2 modeles de first aid, le "small" et le "large", le second est reservé aux infirmiés, c'est pourquoi celui que transporte notre fantassin est un "small" qui suffit. Il existe des versions en papier cartonné mais peu utilisé sur le front car trop fragile. Pareil il existe differents modeles de pochetes : la M-1910 avec 2 pressions, la M-1924 la plus courante celle que je vous presente, et la M-1942 legerement plus large que la M-1924.
Les statistiques sont sans appelles, le nombre de soldats sauvés apres une blessure est drastiquement augmenté notamment en comparaison des autres beligerants.
photo 1 : les deux modeles : celui en metale et l'autre, que j'ai ouvert pour la curiosité
photo 2 : les marquages qui sont les memes, peu importe le modele (metal ou non), juste le fabriquant qui change, au dos selon le modele egalement (et la date) apparait la mention "avec" ou "sans sulfalinamide".
photo 3/4 : la pochette M-1924 fabriquation Jeff de 1942, typique, les parties metalliques sont en laiton, donc bien du debut de conflit, la pression est de fabriquation "united carr" reconnaissable au petit point.
photo 5 : le bandage blanc typique d'avant 1944, portant la mention "put other side next to wound"
photo 6 : le sachet d'antibiotique a saupoudrer sur la blessure, encore plein
Durant la premiere guerre mondiale, les differentes armées se sont vite appercues que les systemes de soins et medicaux du front etaient trop loin du front et mettaient trop de temps a soigner un blesser, lui laissant tres peu de chance de s'en sortir. L'us Army avait deja pensé à doter son fantassin d'un petit kit de soins rapides en cas de blessures sur le front. Mis en pratique en 1917 par l'armée de John Pershing, elle augmenta drastiquement les chances de survies d'un homme touché par balle.
Durant la seconde guerre mondiale, le concepte est reutilisé tant il fut efficace. Il se compose alors d'un pouch qui s'accroche au ceinturon par les oeillets, et du kit qui va a l'interieur. Ce dernier est, dans ce cas la en metal, pour resister aux conditions du front. Il contient 1 pansement (d'abord blanc, puis camouflé), et de la sulfalinamide (un antibiotique). Chaque fantassin en est equipé, placé normalement a l'arriere droit du ceinturon, il permet a n'importe quel homme de pratiquer les premiers soins a un blesser, meme a lui meme. Cela permettait de maintenir le soldat en vie avant l'arriver de l'infirmier, qui pratiquait alors un garrot et emmener ensuite le soldat a l'antenne de secours.
Il existe 2 modeles de first aid, le "small" et le "large", le second est reservé aux infirmiés, c'est pourquoi celui que transporte notre fantassin est un "small" qui suffit. Il existe des versions en papier cartonné mais peu utilisé sur le front car trop fragile. Pareil il existe differents modeles de pochetes : la M-1910 avec 2 pressions, la M-1924 la plus courante celle que je vous presente, et la M-1942 legerement plus large que la M-1924.
Les statistiques sont sans appelles, le nombre de soldats sauvés apres une blessure est drastiquement augmenté notamment en comparaison des autres beligerants.
photo 1 : les deux modeles : celui en metale et l'autre, que j'ai ouvert pour la curiosité
photo 2 : les marquages qui sont les memes, peu importe le modele (metal ou non), juste le fabriquant qui change, au dos selon le modele egalement (et la date) apparait la mention "avec" ou "sans sulfalinamide".
photo 3/4 : la pochette M-1924 fabriquation Jeff de 1942, typique, les parties metalliques sont en laiton, donc bien du debut de conflit, la pression est de fabriquation "united carr" reconnaissable au petit point.
photo 5 : le bandage blanc typique d'avant 1944, portant la mention "put other side next to wound"
photo 6 : le sachet d'antibiotique a saupoudrer sur la blessure, encore plein
- Atr45Membre du forum
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Localisation : En train de somnoler sous l'aile d'un Tempest
Re: 1st aid pack
Mer 8 Juin 2016 - 22:16
"La guerre n'est pas une aventure. La guerre c'est une maladie" disait St Ex.. intéressant comme sujet, qui peut sembler être un détail lorsque on en parle assis dans son fauteuil, mais qui avait une plus grande signification sur le champs de bataille
- novi62_filsResponsable recrutement [REM] - Communauté Gaming
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Jeu vidéo préféré : War Thunder/Red Orchestra 2/La chasse au Lapin
Re: 1st aid pack
Jeu 9 Juin 2016 - 12:57
La guerre est une des pandémies de ce monde..
Ce 1st Aid Kit sauva bien des vies, notamment lorsque les hôpitaux de campagnes (je pense à la bataille des Ardennes) étaient coupés de ravitaillements.
Ce 1st Aid Kit sauva bien des vies, notamment lorsque les hôpitaux de campagnes (je pense à la bataille des Ardennes) étaient coupés de ravitaillements.
- InvitéInvité
Re: 1st aid pack
Jeu 9 Juin 2016 - 17:28
oui entre autre, faut savoir qu'il n'y avait pas vraiment d'equivalent dans les autres armées
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