[FRONT EST] Objectif Leningrad ! (Août / Septembre 1941)
Dim 6 Mar 2016 - 21:40
Objectif Leningrad ! (Août / Septembre 1941) :
"Défendons la ville de Lénine !"
Suite à notre longue série de Batailles Historiques mettant en avant les véhicules allemands (Elefant, Tiger P, Panzer V-IV / Jagdtiger / Nashorn / Pz.Sfl.IVb) passons maintenant aux véhicules soviétiques, avec notamment le char T-50 et le canon automoteur léger SU-26. Ces deux véhicules ont la particularité d'avoir défendu la ville de Leningrad (Aujourd'hui Saint-Pétersbourg), alors que celle-ci était entrain de vivre le siège le plus long de la Seconde Guerre Mondiale, avec près de 870 jours de blocus (Du 8 septembre 1941 au 27 janvier 1944). Revivons ensemble la défense de la ville face à l'assaut des Panzers allemands.
T-50 l'échec du char universel :
Durant l'entre deux-guerres, le complexe industriel soviétique fait la part belle à la production du T-26. Toutefois, sa conception datant du début des années 1930, les autorités russes considèrent que ses limites techniques sont atteintes. Le directoire militaire en charge des véhicules et des engins de combat propose alors de le remplacer par un blindé capable de prendre à partie les machines adverses, d'effectuer des reconnaissances armées et enfin de soutenir l'infanterie (Soprovzhdeniya Pekhoty en russe). Un ensemble de qualités qui doit, au final, permettre à ce nouveau venu de devenir le char "Universel" apte à remplacer la totalité du parc de blindés de l'Armée Rouge.
En janvier 1941, trois prototypes (Objekt 126 / 127 / 211) sont testés devant un parterre d'officiers de l'Armée Rouge. Finalement, le 22 Février 1941, le T-126SP, qui est au passage le premier char soviétique à réussir l'ensemble des étapes des essais gouvernementaux, est officiellement désigné T-50, puis déclaré apte au service. Le résultat est, techniquement parlant, une superbe réussite.
Avec une suspension à barres de torsion, un moteur GAZ V-4 Diesel et une cuirasse inclinée, sa conception est en avance sur son temps. Par ailleurs, l'assemblage de sa caisse fait massivement appel à la soudure et son organisation interne se distingue de celle de ses homologues russes par une tourelle triplace. Le commandant peut alors d'avantage se concentrer sur sa tâche. De plus, il bénéficie d'un tourelleau améliorant sa vision sur l'extérieur.
Et comble de la modernité pour un char russe, une radio modèle 9R est systématiquement installée. Remarquons que cette répartition des rôles est singulièrement identique à celle des chars allemands. En dépit d'une bonne organisation de l'espace à l'intérieur, le faible volume habitable impose un recrutement des hommes selon des critères de taille. Une fois le dessin finalisé, la production en série est programmée. Pourtant, des difficultés de mise au point du V4 Diesel retardent considérablement son lancement. Ce problème ne fut jamais corrigé et seulement 50 exemplaires furent produits durant la second moitié de 1941, car Moscou avait donné comme ordre de déménager les usines.
On tenta de relancer la production de masse à l'usine n°37 (Moscou) mais ce fut un échec. En août 1941, l'usine n°174 fut évacuée et ré-implantée sur plusieurs sites: principalement à Omsk mais aussi à Nizhnij Tagil et Barnaul. Le 13 octobre 1941, le GOKO (Comité de défense Russe) ordonna de construire deux nouvelles usines à Barnaul: la première pour la production du T-50 et la seconde pour la production du moteur V-4 Diesel. Cependant en janvier 1942, ce projet fut supprimé. L'usine n°174 de Omsk ne manufactura que 15 exemplaires du T-50 et passa ensuite à la production plus urgente du T-34/76.
156- Moteur GAZ V-4 Diesel / 157 - Chenille du T-50 / 158 - Détail des maillons de chenille
Du fait de son "Universalité", il est légitime de se demander si le T-50 aurait pu devenir le principal char de bataille russe de la Seconde Guerre Mondiale. Sur le papier, il possède effectivement des arguments intéressants par rapport au T-34. Tout d'abord, son rapport poids/puissance est exceptionnel, avec 21ch par tonne (T-34/76 mod.1940 19ch/t). Les performances maximales sont certes sensiblement identiques, mais elles sont obtenues avec plus de facilité pour le T-50, qui, au passage, profite de son poids plume pour assurer des accélérations identiques.
Sa pression au sol de seulement 0.56 kg/cm² lui offre une manœuvrabilité remarquable sur le terrain meuble. Fort de cette mobilité l'engin peut passer dans des zones impraticables pour le T-34/76, plus lourd de 12 tonnes. D'autre part, bien que moins cuirassé que le char moyen, le T-50 est une proie difficile pour les armes antichars adverses. Sa compacité et l'inclinaison de son blindage lui permettent de résister à un obus perforant de 7.5cm tiré par un PaK.40 à 400m. Inutile de dire que dans les mêmes conditions, un T-34 est transpercé sans coup férir. Les tests ne précisent pas cependant si des dommages structurels, consécutifs au choc, ont été répertoriés.
Un tourelleau, des communications internes via un intercom TPU-3 et l'installation systématique d'un poste radio en font un "concurrent" techniquement supérieur aux autres engins russes. Sa tourelle triplace et une dotation en munitions plus fournie que celle du T-34 complètent son panel de qualités face à un concurrent qui pèche par une mauvaise organisation interne. Il est vrai que son commandant cumule les fonctions au point de ne plus pouvoir suivre l'évolution de la situation. Finalement, il est permis de se demander si les Soviétiques ont fait le bon choix en misant sur le T-34, d'autant que ce dernier demande deux fois plus d'acier qu'un T-50 ! Pour autant, tout n'est pas parfait.
Ainsi, le 45mm 20K affiche une balistique inférieure au canon de 76.2mm du T-34. Et paradoxalement, le point fort du T-50, à savoir sa tourelle triplace, se révèle être un frein à son évolution. Trop exiguë, elle ne peut accueillir une pièce plus volumineuse. Une contrainte que ne connaîtra pas le T-34, dont l'armement pourra suivre l'augmentation du blindage des Panzer. En outre, le moteur 12 cylindres Diesel V2-K de 500 chevaux est bien plus fiable que le 6 cylindre GAZ V-4 du T-50. Effectivement, ce nouveau bloc est très loin de posséder la résistance mécanique nécessaire pour officier sur un char de combat. Un manque d'endurance qui hypothèque tout son potentiel.
Ordre de mission donné à l'équipage de ce T-50 (Probablement durant l'hiver 1941)
En conclusion, bien que supérieur sur de nombreux points, le T-50 n'affiche pas la même souplesse que la plate-forme du T-34. Trop complexe à produire, doté d'une mécanique fragile et gourmande en matières premières rares, sa production prend fin en janvier 1942, après la fabrication de 67 machines, dont seulement 48 seront armées et opérationnelles. Les T-50 combattront à Leningrad en 1941 et également dans l'isthme de Carélie où ils feront face aux troupes Finnoises (Dont certains seront réutilisés par l'armée Finlandaise). Les T-50 seront utilisés au sein de Brigades Indépendantes (84th Separate Tank Battalion / 1st Tank Division notamment), cependant aucun rapport ne signal son comportement au combat, hormis sa bonne mobilité.
SU-26 (SU-76P) Le canon automoteur de Leningrad !
Quand le char léger T-26 fut petit à petit remplacé par des modèles plus récents, les Russes voulurent transformer ces chars légers en canons automoteurs. Cependant durant le début de la Grande guerre patriotique (Juin 1941), de nombreux T-26 furent détruits au combat et définitivement perdus et l'évacuation des usines vers l'Oural rendait impossible la construction de nouveaux blindés. Cependant fin 1941, plusieurs modèles de SU-26(SU-76P à partir de 1943, le "P" désignant "Polkovaya", régimentaire en français) furent produits. La tourelle était supprimée, un canon régimentaire de 76 mm M1927 était simplement installé sur le châssis du T-26 avec un large bouclier de seulement 1.5 cm d’épaisseur. L'usine Kirov (n°185) se chargera de cette conversion à Leningrad et 15 exemplaires seront produits.
Le canon de 76 mm M1927 fut choisit car il s'agissait d'un canon dont les munitions étaient en quantité suffisante dans Leningrad, comparativement au canon de 47 mm qui connaissait plus de problèmes pour le ravitaillement lors du blocus. Ils ne combattront qu'à Leningrad et certains SU-26(SU-76P) combattront même jusqu'en janvier 1944, date de la libération du siège. Ce véhicule fut une réponse urgente à la demande d'un véhicule léger de soutien d'infanterie et malgré son aspect obsolète, jouera parfaitement son rôle.
Photo d'un SU-26(SU-76P) au combat, accompagné d'un KV-1, durant l'Hiver 1943
Contexte Historique : La défense d'une ville symbole !
L’encerclement de Leningrad débute le 19 août, les chars d’avant garde de la 8.Panzerdivision sont à Krasnogvardeisk, située à 45 km au sud de Leningrad, où ils se heurtent à des éléments de la 1e Division Blindée Soviétique. Le combat est rude et l’avance allemande est stoppée. Le 21 août, contournant vers l’Est les défenses soviétiques, la 8.Panzerdivision s’empare de Chudovo coupant ainsi la principale route et voie ferrée reliant Leningrad à Moscou. Leningrad est isolé, mais sa défense est solide. C’est dans ce contexte que les ministres Kliment Vorochilov (Qui donnera son nom à la série des chars lourds KV) Jdanov et Popkov le président du soviet de Leningrad, lancent leur fameux appel du 21 août 1941 : « Levons-nous comme un seul homme pour la défense de notre ville, pour celle de nos maisons, de nos familles, de notre liberté et de notre honneur.»
Le 30 août, la ville de Mga est prise, isolant ainsi totalement Leningrad du reste du pays par voie routière et ferroviaire. Il ne reste qu’une étroite bande terrestre du Nord de Mga à Schlüsselburg et aux rives du Lac Ladoga aux mains des soviétiques. Au début de septembre, les troupes de l’Armée rouge sont déployées en deux ceintures défensives, comprenant notamment les 42e, 55e et 48e Armée. Cette force de défense est complétée par des divisions de défense populaire, formées de volontaires civils de la ville même de Leningrad ou de la région de Leningrad et qui n’ont qu’une valeur de combat très limitée.
Début septembre, la ville dispose de vivres pour un mois à peine. Le 4 septembre, les bombes commencent à tomber sur Leningrad. Hitler donne l’ordre de refuser toute capitulation, Leningrad doit être simplement, d'après ses propos « rasée de la surface de la terre ». Deux explications à cela : d’abord afin d’éviter d’avoir à nourrir trois millions d’habitants, et de se faire piéger par les explosifs comme ce fut le cas peu avant à Kiev, quand l’Armée allemande pénétra dans la ville désertée. Mais il existe également une dimension idéologique : Leningrad doit être anéantie car elle est le berceau de la Révolution Russe.
Le 6 septembre, les allemands lancent les premières attaques en direction du Lac Ladoga avec deux Kampfgruppen dans une zone couverte de forêts et de landes, terrains défavorables aux chars et à l’artillerie. À la fin de la journée, les assaillants ne progressent que de 500 mètres. Le 7 septembre, les Kampfgruppen continuent l’action, et en fin de journée, une compagnie parvient à ouvrir une brèche dans le dispositif de défense.
Le 8 septembre, au petit matin la brèche s’élargie et la 20.Infanterie-Division perce les lignes de défenses russes et atteint Schlüsselburg, puis l’embouchure de la Neva face à Sheremetyevka et la rive Sud du Lac Ladoga. Leningrad est définitivement coupée du reste de la Russie par voie terrestre. Cette petite bande de terre sera désormais l’enjeu de combats et de batailles furieuses. Les Allemands disposent d’une mince portion du Lac Ladoga, sur lequel les Russes entretiennent une flottille navale importante. Le ravitaillement parviendra désormais aux Russes par bateaux pendant une partie de l’année 1941 et chaque hiver, ils seront ravitaillés grâce au lac gelé, par la « route de la vie », ce qui leur permettra de tenir.
Cependant un million de civils mourront de faim pendant le siège. Le 9 septembre, les nazis lancent une attaque plus à l’Ouest en direction de Leningrad même afin de s’approcher au plus près possible du cœur de la ville.
La prise de la ville, dont la défense est organisée par Joukov, se révèle vite impossible. Les Allemands renoncent à un assaut direct et décident de l’investir quartier par quartier.
L’offensive allemande débute à 9h30 le 10 Septembre 1941:
La 6.Panzerdivision doit détruire 32 bunkers et plusieurs positions antichars avant de pouvoir espérer avancer vers Leningrad. Les SS de la 4.SS-Polizei-Panzergrenadier-Division sont stoppés devant Krasnogvardeisk. Le 41.Armee Korps se heurte à la première ligne de défense de Leningrad, notamment sur les hauteurs fortifiées de Duderhof.
La 36.Infanterie-Division et la 1.Panzerdivision passent à l’attaque des hauteurs dont les points culminants sont la côte 143 et la côte 167 qui sont truffées de tranchées, de blockhaus et de nids de mitrailleuses, le tout protégé par un fossé antichar. Les combats sont rudes et sanglants, les Soviétiques ripostent avec leur artillerie et par des contre-attaques de chars, utilisant notamment les premiers KV-1, qui sortent tout neuf des usines Kirov de Leningrad. Toutefois malgré une défense opiniâtre, dans la soirée, la côte 143 tombe aux mains des Allemands. La 18.Armee Allemande attaque dans le secteur de Krasnoe Selo.
Le 11 septembre Duderhof, puis la côte 167 tombent, ce qui fait dire par radio au Lieutenant Darius commandant de la 6.Kompagnie du 1.Panzer-Regiment « Je vois Pertersbourg et la mer ! ». Le 12 septembre, la 18.Armee allemande prend Krasnoe Selo et avance vers la côte. Le 209.Infanterie-Regiment entre dans Urisk, un faubourg de Leningrad ou se trouve le terminus d’un tramway et un panneau indiquant : « Leningrad, 10 kilomètres ! ». Toutefois, les Allemands ne poussent pas en direction de cette ville mais en direction de la Mer Baltique, afin d’isoler les défenseurs d’Oranienbaum. Au même moment dans Leningrad le système de rationnement se durcit, les rations tombent à 500 grammes pour les travailleurs, 395 grammes pour les employés, 310 grammes pour les enfants et autres civils. Au problème d’approvisionnement en vivres s’ajoute le problème du chauffage : il n’y a pas d’autre combustible que le bois, que l’on peut trouver dans la ville et ses faubourgs, et pour l’éclairage, la production d’électricité est quasi nulle.
Pz.35(t) et Pz.IV en route vers Leningrad
Le 13 septembre Krasnogvardeisk est prise après un mois de combat par la 4.SS-Polizei-Panzergrenadier-Division et la 269e DI. Le 14 septembre, la 1.Infanterie-Division, parvient à atteindre la Mer Baltique isolant Oranienbaum de Leningrad. Cette poche ne sera jamais réduite, les russes la ravitailleront par mer jusqu’à la fin du siège de Leningrad en janvier 1944. Le 17 septembre, Pouchkine et le palais des Tsars sont pris. Ce même jour des troupes quittent le Heeresgruppe Nord et partent vers Moscou ou la bataille décisive doit se jouer...
Du 29 juin au 28 août 1941, environ 490 000 personnes sont évacuées d'urgence principalement par train. À partir du 28 août, l'encerclement de la ville par les troupes allemandes empêche toute évacuation par voie terrestre. L'évacuation, de 35 000 personnes, se poursuit alors par voie aérienne et navale à travers le Lac Ladoga.
-> En septembre 1941, les secteurs défensifs de Leningrad sont tenus par quatre armées:
- 23e Armée dans le secteur Nord
- 42e Armée sur le secteur Ouest
- 55e Armée du secteur Sud
- 67e Armée le secteur Oriental
D’autre part, à Oranienbaum, la 8e Armée du Front Volkhov a la responsabilité de maintenir la voie de ravitaillement en coordination avec la flottille du Lac Ladoga.
En cette fin septembre le front se stabilise et le Siège de Leningrad commence pour encore plus de 800 jours !
Contexte :
La Bataille représentera les combats dans les villages autour de Leningrad et dans les faubourgs de la ville, d’août à septembre 1941, car aucun combat ne s'est déroulés dans la ville même.
Forces en présence représentées :
Allemands :
6.Panzerdivision
8.Panzerdivision
12.Panzerdivision
Russes :
- 1e Tank Division (48e Armee)
- 54th Tank Battalion (55e Armee)
- 84th Separate Tank Battalion(55e Armee)
- 86th Separate Tank Battalion(55e Armee)
- 1e Tank Division (Indépendante)
Carte utilisée lors de la bataille :
Ensk
Les Allemands commenceront à l'Est de la carte, ils seront à l'offensive (Rectangle rouge)
Les Soviétiques se placeront en position défensive dans la ville (Rectangle vert). Les points vert ne sont qu'un exemple de positionnement.
Réglementation :
Aucun obus Gold ne sera autorisés
Réglementation des consommables :
Aucun consommables Gold ne sera autorisés
Réglementation des équipements :
Tout équipement est autorisé, sauf la Boîte à outils permettant de réparer un module endommagé, 25% plus rapidement.
-> BATAILLE LE SAMEDI 26 ET DIMANCHE 27 MARS À 20H !
Notes :
Pour une meilleure coordination lors de la bataille, nous utilisons Mumble.
Pour installer Mumble rendez-vous ici : http://www.mumble.com/
Les identifiants vous seront donnés dans la salle.
ThibautC et les membres du clan [REM]
Sources :
- TNT N°31 Article : "T-50 L'échec du char universel"
- Site : milguerres.unblog.fr
- Livre "Leningrad 1941-1944 The Epic Siege" / Robert Forczyk (http://fr.slideshare.net/Wolfsangel/leningrad-19411944)
- Images Internet
- Sources Personnelles
Configurations Soviétiques :
IV - T-50 :
- Canon 45mm 20K
- Tourelle T-50
- Moteur V-4
- Radio 71-TK-3
- Suspension T-50
IV - T-28 mod.1938 :
- Canon 76mm L-10
- Tourelle T-28 cylindr.
- Moteur M-17T
- Radio 71-TK-3
- Suspension T-28
II - BT-5 mod.1935 (BT-2 dans World Of Tanks):
- Canon 45mm 20K
- Tourelle BT-5
- Moteur M-5-400
- Radio 71-TK-1
- Suspension BT-5
III - BT-7 mod.1935 (BT-7 dans World Of Tanks):
- Canon 45mm 20K
- Tourelle BT-7 Mod.1935
- Moteur M-17L 1,400 r/min
- Radio 71-TK-3
- Suspension BT-7
III - BT-7 mod.1937 (BT-7 dans World Of Tanks)
- Canon 45mm 20K
- Tourelle BT-7 mod.1937
- Moteur M-17L 1,400 r/min
- Radio 71-TK-3
- Suspension BT-7
III - BT-7A (PREMIUM):
II - T-26 mod.1936 (T-26 dans World Of Tanks):
- Canon 45mm 20K
- Tourelle T-26 mod. 1936–1937
- Moteur T-26
- Radio 71-TK-1
- Suspension T-26
II - T-26 mod.1938 (T-26 dans World Of Tanks):
- Canon 45mm 20K
- Tourelle T-26 mod. 1938
- Moteur T-26
- Radio 71-TK-1
- Suspension T-26
III - SU-26(SU-76P):
- Canon 76 mm Regimental Gun mod. 1927
- Moteur T-26
- Radio 71-TK-3
- Suspension SU-26 Bis
Configurations Allemandes :
III - Panzer 38(t) :
- Canon 3,7 cm Kw.K. 38 (t) L/47
- Tourelle Pz.Kpfw. 38 (t) Ausf. G
- Moteur Praga TNPS
- Radio FuG 5
- Suspension Pz.Kpfw. 38 (t) Ausf. G
II - Panzer 35(t) :
- Canon 3,7 cm Kw.K. 34 (t) L/40
- Tourelle Pz.Kpfw. 35 (t) verstärkterturm
- Moteur Škoda T-11
- Radio FuG 37
- Suspension Pz.Kpfw. 35 (t)verstärkteketten
II - PanzerBefehlswagen 35(t) (Char de commandement équipé d'une radio plus puissante) :
- Canon 3,7 cm Kw.K. 34 (t) L/40
- Tourelle Pz.Kpfw. 35 (t)
- Moteur Škoda T-11
- Radio FuG 8
- Suspension Pz.Kpfw. 35 (t)verstärkteketten
IV - Panzer IV Ausf.D :
- Canon 7,5 cm Kw.K. 37 L/24
- Tourelle Pz.Kpfw. IV Ausf. C
- Moteur Maybach HL 120 TR
- Radio FuG 5
- Suspension Pz.Kpfw. IV Ausf. D
II - Panzer II Ausf.C (Pz II dans World Of Tanks et non le Pz.I C):
- Canon 2 cm Kw.K. 30
- Tourelle Pz.Kpfw. II Ausf. b
- Moteur Maybach HL 62 TR
- Radio FuG 2
- Suspension Pz.Kpfw. II Ausf. F
II - Panzer I Ausf.B (Pz I dans World Of Tanks):
- Canon 2 cm Kw.K. 30
- Tourelle L.K.A. 2
- Moteur Maybach HL 38 TR
- Radio FuG 2
- Suspension Pz.Kpfw. I Ausf. B
Re: [FRONT EST] Objectif Leningrad ! (Août / Septembre 1941)
Lun 7 Mar 2016 - 13:07
Merci stéphounet ^^
- InvitéInvité
Re: [FRONT EST] Objectif Leningrad ! (Août / Septembre 1941)
Lun 7 Mar 2016 - 21:06
bon bah il me reste plus qu'a retenter de retelecharger WOT pour participer
- InvitéInvité
Re: [FRONT EST] Objectif Leningrad ! (Août / Septembre 1941)
Ven 18 Mar 2016 - 19:01
Ah Ah !
Intéressant ! Très même !
Intéressant ! Très même !
- [FRONT EST / WT] Objectif Leningrad ! (Août / Septembre 1941)
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